Fiche produit
LE FOU DE LAYLA (BABEL)
164,50 MAD TTC
Auteur(s)
Majnun/miquel Andre
Éditeur(s)
Actes Sud
Date de parution
06/06/2018
DISPONIBILITE
Expédié sous 21 à 28 jours
Descriptif
Infos
Description :
Sous le nom de Majnûn (le Fou) se cache un jeune homme qui n'a peut-être jamais existé. Car à ce sujet, histoire et légende sont inextricablement mêlées : l'histoire rapporte qu'au désert d'Arabie, dans la seconde moitié du VIIe siècle, circulent des poèmes chantant un amour parfait et impossible. Leurs auteurs, sous divers noms, se veulent, d'une tribu à l'autre, les meilleurs dans le genre, et pour avoir vécu cet amour, et pour le dire.
La légende, elle, évoque un jeune homme, Qays, qui tombe amoureux de sa cousine Laylâ. Alors que rien ne devrait s'opposer à leur mariage, Qays, poète, décide de chanter son amour à tous vents, enfreignant ce faisant une règle majeure du code bédouin. Dès lors, tout s'enchaîne : le refus de la famille, le mariage forcé de Laylâ, Qays sombrant dans la folie et allant vivre avec les bêtes du désert, sa mort en?n, d'épuisement et de douleur.
Homme de chair et de sang ou personnage inventé, Majnûn, de tous les poètes qui ont chanté l'amour dans l'Arabie de ce temps, est sans doute le plus grand.
4e de couverture :
Sous le nom de Majnûn (le Fou) se cache un jeune homme qui n'a peut-être jamais existé. Car à ce sujet, histoire et légende sont inextricablement mêlées : l'histoire rapporte qu'au désert d'Arabie, dans la seconde moitié du VIIe siècle, circulent des poèmes chantant un amour parfait et impossible. Leurs auteurs, sous divers noms, se veulent, d'une tribu à l'autre, les meilleurs dans le genre, et pour avoir vécu cet amour, et pour le dire.
La légende, elle, évoque un jeune homme, Qays, qui tombe amoureux de sa cousine Laylâ. Alors que rien ne devrait s'opposer à leur mariage, Qays, poète, décide de chanter son amour à tous vents, enfreignant ce faisant une règle majeure du code bédouin. Dès lors, tout s'enchaîne : le refus de la famille, le mariage forcé de Laylâ, Qays sombrant dans la folie et allant vivre avec les bêtes du désert, sa mort en?n, d'épuisement et de douleur.
Homme de chair et de sang ou personnage inventé, Majnûn, de tous les poètes qui ont chanté l'amour dans l'Arabie de ce temps, est sans doute le plus grand.
Notes Biographiques :
Agrégé de grammaire et docteur ès lettres, André Miquel a enseigné pendant de nombreuses années la langue et la littérature arabes classiques au Collège de France. Il a consacré de nombreux ouvrages au monde musulman et traduit de grands textes classiques arabes. Agrégé de grammaire et docteur ès lettres, André Miquel a enseigné pendant de nombreuses années la langue et la littérature arabe classique au Collège de France, dont il a été l¹administrateur général, après avoir été celui de la Bibliothèque nationale.
Il a consacré de nombreux ouvrages au monde musulman et traduit de grands textes classiques arabes. Sindbad a notamment publié Du désert d'«Arabie aux jardins d'Espagne» (anthologie poétique, 1999) ; «L'Amour poème» (choix de
poésies de Majnûn, 3e édition, 1998) ; «Majnûn, le Fou de Laylâ» (traduction
et présentation du diwân de Majnûn, 2003) ainsi que «Les Arabes et l'amour», en collaboration avec Hamdane Hadjadji (Actes Sud, 1999).
Sous le nom de Majnûn (le Fou) se cache un jeune homme qui n'a peut-être jamais existé. Car à ce sujet, histoire et légende sont inextricablement mêlées : l'histoire rapporte qu'au désert d'Arabie, dans la seconde moitié du VIIe siècle, circulent des poèmes chantant un amour parfait et impossible. Leurs auteurs, sous divers noms, se veulent, d'une tribu à l'autre, les meilleurs dans le genre, et pour avoir vécu cet amour, et pour le dire.
La légende, elle, évoque un jeune homme, Qays, qui tombe amoureux de sa cousine Laylâ. Alors que rien ne devrait s'opposer à leur mariage, Qays, poète, décide de chanter son amour à tous vents, enfreignant ce faisant une règle majeure du code bédouin. Dès lors, tout s'enchaîne : le refus de la famille, le mariage forcé de Laylâ, Qays sombrant dans la folie et allant vivre avec les bêtes du désert, sa mort en?n, d'épuisement et de douleur.
Homme de chair et de sang ou personnage inventé, Majnûn, de tous les poètes qui ont chanté l'amour dans l'Arabie de ce temps, est sans doute le plus grand.
4e de couverture :
Sous le nom de Majnûn (le Fou) se cache un jeune homme qui n'a peut-être jamais existé. Car à ce sujet, histoire et légende sont inextricablement mêlées : l'histoire rapporte qu'au désert d'Arabie, dans la seconde moitié du VIIe siècle, circulent des poèmes chantant un amour parfait et impossible. Leurs auteurs, sous divers noms, se veulent, d'une tribu à l'autre, les meilleurs dans le genre, et pour avoir vécu cet amour, et pour le dire.
La légende, elle, évoque un jeune homme, Qays, qui tombe amoureux de sa cousine Laylâ. Alors que rien ne devrait s'opposer à leur mariage, Qays, poète, décide de chanter son amour à tous vents, enfreignant ce faisant une règle majeure du code bédouin. Dès lors, tout s'enchaîne : le refus de la famille, le mariage forcé de Laylâ, Qays sombrant dans la folie et allant vivre avec les bêtes du désert, sa mort en?n, d'épuisement et de douleur.
Homme de chair et de sang ou personnage inventé, Majnûn, de tous les poètes qui ont chanté l'amour dans l'Arabie de ce temps, est sans doute le plus grand.
Notes Biographiques :
Agrégé de grammaire et docteur ès lettres, André Miquel a enseigné pendant de nombreuses années la langue et la littérature arabes classiques au Collège de France. Il a consacré de nombreux ouvrages au monde musulman et traduit de grands textes classiques arabes. Agrégé de grammaire et docteur ès lettres, André Miquel a enseigné pendant de nombreuses années la langue et la littérature arabe classique au Collège de France, dont il a été l¹administrateur général, après avoir été celui de la Bibliothèque nationale.
Il a consacré de nombreux ouvrages au monde musulman et traduit de grands textes classiques arabes. Sindbad a notamment publié Du désert d'«Arabie aux jardins d'Espagne» (anthologie poétique, 1999) ; «L'Amour poème» (choix de
poésies de Majnûn, 3e édition, 1998) ; «Majnûn, le Fou de Laylâ» (traduction
et présentation du diwân de Majnûn, 2003) ainsi que «Les Arabes et l'amour», en collaboration avec Hamdane Hadjadji (Actes Sud, 1999).