Fiche produit
MEMOIRE DES RUES - PARIS 18E ARRONDISSEMENT (1900-1940)
133,50 MAD TTC
Auteur(s)
Bousquel Frederique
Éditeur(s)
Parigramme
Date de parution
12/03/2015
DISPONIBILITE
Expédié sous 21 à 28 jours
Descriptif
Infos
Résumé :
Les photographies anciennes révèlent un Paris que nous ne connaissons plus. Ou à peine. Le plus surprenant est qu'en contemplant ces scènes de la vie ordinaire on croit entendre les appels des marchands des quatre saisons, le martèlement des sabots des chevaux sur le pavé, les cris des gamins s'égaillant en riant sur les trottoirs. Arrêt sur images. Du quartier des Grandes Carrières à Clignancourt, de la Goutte d'Or à La Chapelle, le 18e arrondissement offre plus d'un visage.
La laiterie de la rue de la Goutte-d'Or se flatte de deux arrivages par jour. La rue Marcadet abrite l'école des cochers de la Ville de Paris. Les clients du restaurant du Coucou ont pris possession de la plus petite place de Paris tandis que le dernier écrivain public officie sur les marches de la mairie. Les escaliers de la Butte sont sans doute "durs aux miséreux" mais le terrain de jeu favori des poulbots.
Les marchandes de souvenirs religieux se pressent aux abords du Sacré-Coeur. Rue Lepic, le départ est donné d'une course de lenteur.
Les photographies anciennes révèlent un Paris que nous ne connaissons plus. Ou à peine. Le plus surprenant est qu'en contemplant ces scènes de la vie ordinaire on croit entendre les appels des marchands des quatre saisons, le martèlement des sabots des chevaux sur le pavé, les cris des gamins s'égaillant en riant sur les trottoirs. Arrêt sur images. Du quartier des Grandes Carrières à Clignancourt, de la Goutte d'Or à La Chapelle, le 18e arrondissement offre plus d'un visage.
La laiterie de la rue de la Goutte-d'Or se flatte de deux arrivages par jour. La rue Marcadet abrite l'école des cochers de la Ville de Paris. Les clients du restaurant du Coucou ont pris possession de la plus petite place de Paris tandis que le dernier écrivain public officie sur les marches de la mairie. Les escaliers de la Butte sont sans doute "durs aux miséreux" mais le terrain de jeu favori des poulbots.
Les marchandes de souvenirs religieux se pressent aux abords du Sacré-Coeur. Rue Lepic, le départ est donné d'une course de lenteur.