Fiche produit
"VOUS ETES TROP QUALIFIEE POUR LE POSTE..."
191,50 MAD TTC
Auteur(s)
Le Gall Martine
Éditeur(s)
Albin Michel
Date de parution
07/04/2010
DISPONIBILITE
Expédié sous 21 à 28 jours
Descriptif
Infos
« Finalement le poste a été pourvu en interne ».
Combien de fois l'auteur a-t-elle entendu une phrase de ce genre! Ou alors, le « profil » de la fonction avait été mal défini. Ou elle était trop jeune, ou trop âgée. Ou trop diplômée. Ou pas assez.
La recherche d'emploi apparaît à travers ce témoignage, à la fois décapant et drôle, comme une sorte de quête du Graal! Les critères de sélection sont souvent flous ou... fluctuants. Entre arrogance et désinvolture, les recruteurs abusent trop souvent de leur position: indiscrets, parfois blessants dans leurs commentaires, ils se permettent parfois des écarts (comme celui qui proposa à Martine Le Gall de venir prendre son petit déjeuner chez lui dès le lendemain matin!). Une forme assez frustre de harcèlement, en fait, assez répandue.
L'essentiel, en définitive, est de garder son optimisme et un moral d'acier. C'est ce à quoi s'est employée l'auteur et elle nous en fait profiter dans ce récit où le burlesque dissimule à peine une évolution inquiétante de la société française.
Combien de fois l'auteur a-t-elle entendu une phrase de ce genre! Ou alors, le « profil » de la fonction avait été mal défini. Ou elle était trop jeune, ou trop âgée. Ou trop diplômée. Ou pas assez.
La recherche d'emploi apparaît à travers ce témoignage, à la fois décapant et drôle, comme une sorte de quête du Graal! Les critères de sélection sont souvent flous ou... fluctuants. Entre arrogance et désinvolture, les recruteurs abusent trop souvent de leur position: indiscrets, parfois blessants dans leurs commentaires, ils se permettent parfois des écarts (comme celui qui proposa à Martine Le Gall de venir prendre son petit déjeuner chez lui dès le lendemain matin!). Une forme assez frustre de harcèlement, en fait, assez répandue.
L'essentiel, en définitive, est de garder son optimisme et un moral d'acier. C'est ce à quoi s'est employée l'auteur et elle nous en fait profiter dans ce récit où le burlesque dissimule à peine une évolution inquiétante de la société française.